Les femmes sont celles sur qui reposent les familles africaines ; c’est en tout cas l’avis du jeune peintre ivoirien qui a tout de même 20 ans de métier et un atelier à Abidjan. Dans son stand au SIAO 2016, il expose ses peintures de différentes tailles avec un point commun à presque toutes, la représentation de la femme.

Des femmes allant au marché, des femmes portant des enfants, des femmes à la cuisine, des femmes faisant le ménage, bref, les femmes sont représentées ici dans leurs activités quotidiennes de ménagère. Parakart a également tenu à présenter la femme sous différentes corpulences allant des plus minces aux plus fortes.

« Certains disent que la femme forte n’est pas en bonne santé mais cela est faux. Cela fait partie de notre culture et je tenais donc à rendre hommage à nos mamans fortes et en très bonne santé. Mais je n’ai pas oublié non plus les femmes minces car il faut du tout pour faire un monde », confie-t-il.
L’artiste peint sur toile, sur bois ou sur du verre, des objets décoratifs ou utilitaires comme des sous tasse et des couvres verres très design que l’on pourrait utiliser à la maison ou encore dans des établissements hôteliers afin de donner un peu plus de chic au service.

Pour une première participation au Salon International de l’Artisanat de Ouagadougou (SIAO), l’expérience est bonne selon Parakart. J’ai fait quelques ventes et noué des relations avec des acheteurs et des exposants. « A trois jours de la fermeture du Salon je ne peux que souhaiter beaucoup plus de visiteurs et d’acheteurs, mais une chose est sure, je reviendrai dans deux ans », conclut-il.

Kaceto.net