L’association « Citoyen du Renouveau », a organisé un panel sur la situation nationale, le lundi 16 décembre 2019 à Ouagadougou. Des communicateurs, comme le chef d’état-major de l’armée de terre, le colonel Gilles Bationo, le politologue Dr Abdoul Karim Saïdou, le diplomate, Mélégué Traoré et le communicateur, Pr Serge Théophile Balima ont répondu à la question : « Le Burkina Faso, un pays en guerre ?
Que faire ? ».

« Nous sommes en guerre et c’est pour longtemps ». Le Chef d’état-major de l’armée de terre (CEMAT), le colonel Gilles Bationo l’a déclaré, le lundi 16 décembre 2019, à l’occasion d’une conférence publique organisée par le mouvement « Citoyen du Renouveau ». Cette association, créée le 24 juillet 2019 dans la dynamique de susciter le débat, de développer des pistes de réflexion et inspirer des changements, s’est senti interpellée par le contexte socio-sécuritaire au Burkina Faso, marqué par des attaques terroristes, des troubles sociaux et des cérémonies de réjouissance « insouciantes ». C’est pourquoi, de l’avis de son président, Mathieu Tankoano, il est apparu nécessaire de poser la question : « Le Burkina Faso, un pays en guerre ? Que faire ? ». Et pour animer le débat, « Citoyen du Renouveau » a réussi à mettre sur la même table, un militaire, un politologue, un diplomate et un communicateur. Le militaire a d’emblée été affirmatif sur la première question. Selon le colonel Gilles Bationo, le pays des Hommes intègres n’est pas épargné par la poussée djihadiste. Le CEMAT a fait une brève présentation de l’historique et les modes opératoires de cette nébuleuse qui pousse ses racines et prospère dans la misère des populations et la faiblesse du pouvoir. Quant à la bonne réaction, M. Bationo demande aux populations de développer de la résilience en étant de bons citoyens, respectueux de la loi. A l’entendre, la lutte contre le terrorisme est susceptible de s’installer dans la durée, mais il a rassuré que les Forces de défense et de sécurité (FDS) sont en train de prendre la mesure de la situation. « Nous sommes en train de monter en puissance », a-t-il laissé entendre.

L’association « Citoyen du Renouveau », a organisé un panel sur la situation nationale, le lundi 16 décembre 2019 à Ouagadougou. Des communicateurs, comme le chef d’état-major de l’armée de terre, le colonel Gilles Bationo, le politologue Dr Abdoul Karim Saïdou, le diplomate, Mélégué Traoré et le communicateur, Pr Serge Théophile Balima ont répondu à la question : « Le Burkina Faso, un pays en guerre ? Que faire ? ».

« Nous sommes en guerre et c’est pour longtemps ». Le Chef d’état-major de l’armée de terre (CEMAT), le colonel Gilles Bationo l’a déclaré, le lundi 16 décembre 2019, à l’occasion d’une conférence publique organisée par le mouvement « Citoyen du Renouveau ». Cette association, créée le 24 juillet 2019 dans la dynamique de susciter le débat, de développer des pistes de réflexion et inspirer des changements, s’est senti interpellée par le contexte socio-sécuritaire au Burkina Faso, marqué par des attaques terroristes, des troubles sociaux et des cérémonies de réjouissance « insouciantes ». C’est pourquoi, de l’avis de son président, Mathieu Tankoano, il est apparu nécessaire de poser la question : « Le Burkina Faso, un pays en guerre ? Que faire ? ». Et pour animer le débat, « Citoyen du Renouveau » a réussi à mettre sur la même table, un militaire, un politologue, un diplomate et un communicateur. Le militaire a d’emblée été affirmatif sur la première question. Selon le colonel Gilles Bationo, le pays des Hommes intègres n’est pas épargné par la poussée djihadiste. Le CEMAT a fait une brève présentation de l’historique et les modes opératoires de cette nébuleuse qui pousse ses racines et prospère dans la misère des populations et la faiblesse du pouvoir. Quant à la bonne réaction, M. Bationo demande aux populations de développer de la résilience en étant de bons citoyens, respectueux de la loi. A l’entendre, la lutte contre le terrorisme est susceptible de s’installer dans la durée, mais il a rassuré que les Forces de défense et de sécurité (FDS) sont en train de prendre la mesure de la situation. « Nous sommes en train de monter en
puissance », a-t-il laissé entendre.

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