Une semaine après les massacres perpétrés contre des populations civiles dans les villages de Barga, Dinguela et Ramdolah, dans le Yatenga, le Collectif contre l’impunité et la stigmatisation des communautés (CISC) s’est adressé à la presse ce matin sur le sujet à la maison de la Femme à Ouagadougou.
Pour le CISC, il n’y a pas de doute sur l’identité des auteurs de cette barbarie : il s’agit bel et bien des Kogwéogo et "les bourreaux sont connus et identifiés". Le CISC dénonce le "discours mensonger du gouvernement et sa volonté de protéger les criminels en les appelant hommes armés non identifiés (HANI)."
Nous y reviendrons.

Kaceto.net