Les conséquences de la disparition de Yoro, tombé dans une embuscade mortelle le 23 décembre avec 40 autres compatriotes n’ont pas tardé. Comme une digue qui a sauté, sa mort semble avoir précipité les choses dans le Loroum. A preuve, le directeur provincipal du ministère de l’Education nationale s’est vu dans l’obligation de délocaliser les établissements scolaires à Ouahigouya dès la rentrée de janvier, pour des raisons évidentes de sécurité.

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