"En revisitant notre histoire depuis 1960, on remarque que la répression politique et syndicale, les tentatives d’imposer le parti unique ou les velléités d’instaurer la dictature, ont tous échoué lamentablement par le fait du peuple libre du Burkina", écrit le parti politique dans le communiqué ci-contre, le Le Socle citoyen pour la libération (SOCL) en réaction à l’enlèvement le 24 décembre à son domicile de Ablassé Ouédraogo, président du parti "Le Faso Autrement"

Le SOCL a appris « l’enlèvement le 24 décembre à son domicile », du Président du parti politique « le Faso Autrement », le Dr Ablassé Ouédraogo. Cet enlèvement fait suite aux interdictions d’activités et réquisitions d’acteurs du monde syndical et de la société civile.
Après avoir suspendu les activités des partis, cet acte constitue l’extrême répression des partis politiques et des opinions libres au Burkina Faso. Ces graves agressions érigées en mode opératoire interpellent tous les citoyens burkinabè !
Fidèle aux principes et valeurs qui fondent l’Etat et l’unité de notre cher pays, le SOCL condamne cette pratique autoritariste et moyenâgeuse qui sévit depuis quelques temps au pays des hommes intègres. Solidaire au Dr Ablassé Ouédraogo, à son parti et à ses proches, nous demandons purement et simplement sa libération !
En revisitant notre histoire depuis 1960, on remarque que la répression politique et syndicale, les tentatives d’imposer le parti unique ou les velléités d’instaurer la dictature, ont tous échoué lamentablement par le fait du peuple libre du Burkina. Tirons-en leçons et enseignements !
Temps du peuple, temps de la libération !

Le Socle citoyen pour la libération (SOCL)