Un groupe de militaires dont certains sont en activité et d’autres radiés, associés à des civils et des activistes de la société civile ont planifié, en complicité avec l’extérieur, un projet de déstabilisation de la Transition qui devait être exécuté le 14 janvier 2024. C’est l’information que le gouvernement a révélé aujourd’hui dans un communiqué signé par son porte-parole, Jean Emmanuel Ouédraogo.
Fort heureusement, indique le gouvernement, les services de renseignements ont pris les devant en procédant à des arrestations de personnes suspectées d’être les auteurs de la tentative de putsch.
Il annonce que des "voies de droit seront usités pour éclairer l’opinion nationale et internationale sur l’ensemble de ces manœuvres"

Kaceto.net