Le communiqué ci-contre du gouvernement publié hier 5 décembre condamnant fermement les appels à l’assassinat de journalistes va t-il dissuader leurs auteurs à passer à l’acte ? C’est tout le souhait que l’on puisse formuler d’autant que rien, absolument rien ne saurait justifier de tels propos à l’encontre de citoyens burkinabè qui n’ont émis que des avis sur la conduite des affaires publiques.
Au-delà de la condamnation, la justice doit assumer pleinement sa mission en interpellant les propagateurs de la haine afin qu’ils répondent de leurs actes.

Kaceto.net